03 mai 2009
PREMIER JANVIER DEUX MILLE NEUF
Il est venu, je n'avais pas vu, je voulais pas. c'était si effrayant... comme un oiseau perché dont on secoue la branche, comme une cerise mal accrochée qu'il as fait tombé et écrasé. les pleurs et la terreur présents, j'ai vaincu. Emportée par le tourment et l'écriture, tombée je suis. Il était là, sans états d'âmes ni artifices, sans douce mélodie romantique pour assurer mais juste des mots dures et écorchés qui auront triomphé.
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